 | Données éconnomiques |
Superficie : 108.890 km²
Population : 12.293.545 h en 2006
Capitale : Guatemala City 2.655.900 (Aglomération en 2003)
Langue : Espagnol
Routes : 14118km dont 4871km revétues. (74km d'autoroute à Guatémala City) |
| Carte des chemins de fer du Guatémala |  |
Le réseau indiqué sur cette carte correspond à celui de 2006. Depuis 2007
les ponts métalliques ont étés démontés et vendus par des voleurs ainsi que les rais et les traverses. Le réseau est entièrement à reconstruire ce qui n'est pas envisagé. |
| Hitorique du réseau |
Le réseau de chemins de fer du Guatemala a été construit à écartement de 0,914 m.
La construction du premier chemin de fer au Guatemala a débuté en 1877.
La première section a commencé à fonctionner en 1880, reliant Puerto San José et Escuintla .
Elle a été prolongée jusqu'à Guatemala City en 1884.
La ligne de Puerto Barrios a été achevée en 1908.
Le réseau a rapidement éyé acquis par United Fruit , et en 1912 rebaptisé " réseau ferroviaire international de l'Amérique centrale ", (IRCA). Le chemin de fer a prospéré jusqu'en 1957. En 1954, United Fruit a été touché par une loi antitrust et en 1959, une autoroute parallèle a provoqué une forte pression concurrentielle. En 1968, la société a déposé son bilan et a été reprise par le gouvernement sous le nom de " Ferrocarriles de Guatemala " (FEGUA). L'état des voies à continué à se détériorer et tout le trafic a été fermé en 1996. Seuls des trains touristiques Trains ont parcouru une partie du réseau en 1997 et 1998.
Renouveau
En Octobre 1997, une concession de 50 ans a été accordée à Railroad Development Corporation (RDC) qui a commencé à réhabiliter le réseau. Ils ont été retardés par la nécessité d'expulser les squatters qui avaient construit leurs cabanes sur l'emprise de la voie au cours des années précédentes et de réparer les dommages causés par les voleurs et la nature. Des dégats sérieux ont été provoqués par l'ouragan Mitch en 1998, qui a détruit une partie de la ligne.
Le premier train sous gestion RDC est allé de Guatemala City à l'usine de ciment " El Chili " le 15 avril 1999, et le reste de la ligne jusqu'à Puerto Barrios a été mis en service en Décembre de la même année.
D'autres lignes existaient au Guatemala : Ciudad Tecún Umán à la frontière avec le Mexique , à Anguiatú vers le Salvador et à Puerto San José . Elles n'ont pas été réparés depuis 1996. Y compris celles-ci le réseau de chemin de comptait 497 miles (800 km).
De 1999 à Septembre 2007, Ferrovías Guatemala (FVG), en tant que filiale de la RDC a exploité 15 locomotives et 200 wagons des trains de marchandises entre Guatemala City et Puerto Barrios. Elle transportait des conteneurs , de l'acier , du ciment , du papier et des bananes entre la côte Caraïbe et la capitale sur un réseau de 200 miles (320 km) jusqu'en 2006.
Le tonnage transporté en 2005 a été de 125000 tonnes avec 11 locomotives et 200 wagons.
En 2006 il etait prévu de réabiliter les lignes vers le Mexique et le Salvador
Le tonnage transporté en 2005 a été de 125000 tonnes avec 11 locomotives et 200 wagons.
En 2006 des trains touristiques étaient organisés sur la ligne Guatémala City - Puerto Barrios et même sur celle de Zacapa à la frontière du Salvador .
Suspension du trafic en 2007
En Août 2006, le gouvernement du Guatemala a déclaré un contrat de 2003 pour la jouissance du matériel roulant et d'autres équipements comme contraire à l'intérêt public ( es: Declaración de lesividad ). FVG a cru qu'il s'agissait d'une réponse à sa demande antérieure d'arbitrage concernant l'utilisation de 2 millions de dollars de la National Railroad Trust destinés au développement des chemins de fer au Guatemala, mais utilisé en fait pour financer un organisme de surveillance gouvernementale en sureffectif.
Le résultat de cette action gouvernementale a été une baisse du trafic et des difficultés opérationnelles, comme l'incapacité à obtenir du crédit ou d'obtenir des revenus supplémentaires en louant certains bâtiments de la gare ou de facturer des droits de passage .
En Mars 2007, la RDC a déclaré son intention de demander la protection de l'investissement par voie d'arbitrage contre le gouvernement du Guatemala, conformément au chapitre 10 de l'ALEAC .
L'affaire a été enregistrée auprès du CIRDI le 20 Août 2007, avec le numéro ARB/07 / 23.
En raison de l'incertitude persistante conduisant à des pertes, FVG a décidé de suspendre toutes les opérations à partir du 1 Octobre, 2007, tout en continuant les actions en justice contre le gouvernement du Guatemala.
En 2011 la plupart des ponts ont été démantelés et vendus à la ferraille par des voleurs, ce qui rend impossible une renaissance des chemins de fer. Il en coûterait des millions de dollars pour reconstruire le réseau.
RDC gagne son procès contre le gouvernement Guatémaltèque
06 Juillet 2012
Railroad Development Corp a annoncé le 5 Juillet qu'il avait gagné son procès d'arbitrage de cinq ans contre la République du Guatemala concernant le litige sur la pousuite de la concession d'exploitation du réseau ferroviaire Guatémaltèque.
Le 29 Juin un tribunal du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements a statué à l'unanimité que le Guatemala avait violé la "norme minimale de traitement" à l'article 10.5 de l'Accord de libre-échange d'Amérique centrale, en adoptant un comportement "arbitraire, tout à fait injuste ".
En 1997 RDC filiale de Ferrovías Guatemala (FVG) a obtenu une concession de 50 ans pour relancer, exploiter et développer le réseau ferré national qui avait été fermée par le gouvernement en 1996. RDC avait gèré avec succès le réseau de chemin de fer pendant sept ans. Le gouvernement a publié un décret présidentiel en août 2006, qui a déclaré que le contrat concernant le matériel roulant nuisait aux intérêts de l'État. RDC a finalement été contraint d'arrêter l'exploitation du réseau du Guatemala en septembre 2007.
À titre de compensation pour la violation des règles du CAFTA, le Tribunal a accordé à RDC plus de 14 millions de $ US de dommages et intérêts, plus les intérêts et les frais administratifs dûs à la durée du procès inutilement prolongée. Cette indemnisation doit être payée "sans tarder". Après le paiement intégral, la RDC doit renoncer à sa participation de 82% dans FVG au profit du gouvernement du Guatemala ou de son prête-nom, et renonçer à tous les droits restants au titre de la concession.
Décrivant la décision du tribunal comme "une victoire à la fois pour l'Etat de droit au Guatemala et au redressement de l'investissement CDR", RDC et FVG Président Henry Posner III a déclaré que ce litige a eu un coût lourd, dont la perte de la voie ferrée. "Il est ironique de constater que partout dans le monde les chemins de fer jouissent d'un niveau sans précédent d''investissement alors qu'au Guatemala il sont non seulement abandonné, mais détruits", at-il dit, notant que cinq années de "vol sans fin" des actifs ferroviaires avaient vu "des ponts en acier entièrement disparaitre en plein jour ".
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Horaire 1984, Ligne 1151, Guatemala City - Tecun Uman (frontière du Mexique) FEGUA voie de 0,914 m |
| Km |
Gares |
Train 3 |
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2ème classe |
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Quotidien |
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Guatemala City |
7h15 |
| 75 |
Escuintla |
10h17 |
| 89 |
Santa Maria |
10h43 |
| 185 |
Mazatenango |
14h26 |
| 215 |
Retalhuleu |
15h12 |
| 251 |
Coatepèque |
17h15 |
| 285 |
Técun Uman (Cuidad Hidalgo) |
18h35 |
| . |
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| Temps |
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11h20 |
| Moyenne |
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25,1 Km/h |
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Horaire 1984, Ligne 1152, Guatemala City - Puerto Barrios (FEGUA) voie de 0,914 |
| Km |
Gares |
Train 2 |
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2ème classe |
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Quotidien |
|
Guatemala City |
6h45 |
| 73 |
Jelapa |
9h36 |
| 103 |
Progreso |
10h11 |
| 153 |
Zacapa |
13h00 |
| 259 |
Bananera |
16h59 |
| 319 |
Puerto Barrios |
19h05 |
| . |
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| Temps |
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12h20 |
| Moyenne |
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25,9 Km/h |
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Horaire 1984, Ligne 1154, Zacapa - Angiato (Frontière avec le Salvador) FEGUA voie de 0,914
Cette ligne est connectée à celle de San Salvador - San Géronimo au Salvador (1km entre les 2 gares)
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| Km |
Gares |
Train 40 |
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2ème classe |
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Mer, Vendr |
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Zacapa |
6h30 |
| 18 |
Chiquimula |
7h40 |
| 125 |
Anguiatu (Guatemala) |
11h25 |
| 126 |
San Salvador (Salvador) |
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| . |
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| Temps |
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4h55 |
| Moyenne |
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25,4 Km/h |
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| Plan de relance 2012 |
Guatemala 8/6/2012
La Feve et le Guatemala ont signé un accord pour le développement de systèmes de transport ferroviaire
Il s'agit d'un accord cadre de coopération avec le Gouvernement du Guatemala, à travers l'entreprise publique FEGUA (Ferrocarriles de Guatemala) d'analyser les possibilités de développement du tourisme urbain et suburbain. Les actions possibles sont proposées pour intégrer la possibilité de fournir du matériel roulant et d'autres biens requis par FEGUA.
08/06/2012
L'accord sera ratifié par les parties dans les prochains jours
Le Directeur international de Feve, José Antonio Ruiz-Sébastien, a signé un nouvel accord de partenariat avec le contrôleur de FEGUA, Carlos Samayoa, en présence de l'Ambassadeur d'Espagne au Guatemala, Manuel María Lejarreta, le sous-ministre des Communications, des Transports et de l'Infrastructure, Guillermo Sosa, et le représentant de Sacatepequez, Ruben Rolando Lopez, qui a signé comme témoins d'honneur.
Le but de l'accord est de favoriser la relance du transport ferroviaire de passagers dans le pays.
Projet ferroviaire entre la ville de Guatemala - l'aéroport international de La Aurora - Antigua pour le rail voyageurs.
Trains de banlieue dans la région métropolitaine Guatemala City ou de train urbain dans la grande ville du Guatemala
Urbain et Trains Sub-urbain dans; Barrio Puerto Morales, Amates, Quirigua, Gualán, Zacapa, El Progreso, Amatitlan, Sarah Palin, Escuintla, Puerto San Jose, Santa Lucia Cotzumalguapa, Patulul, Mazatenango, Xetulul, Retalhuleu, Champerico, Coatepeque, Pajapita et Tecum Uman.
Les actions possibles sont proposées pour intégrer la possibilité de fournir du matériel roulant (véhicules et automoteurs à moteur diesel) et d'autres biens requis par FEGUA conformément à la loi, et d'être accepté par les parties dans les prochaines semaines pour la livraison de services mentionnés.
L'accord sera ratifié par les parties dans les prochains jours avec la signature du Président de la FEVE, Marcelino Oreja Arburua, et établit les différents aspects de la coopération dans le développement stratégique, la gestion opérationnelle, la formation du personnel et l'assistance technique, ciblée, tout, l'amélioration et l'optimisation de l'exploitation des services ferroviaires.
Salutations. Bureau de presse.
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| | Guide Routard |
Les distances entre les villes et les lieux touristiques ne sont pas très grandes (sauf pour aller à Flores-Tikal, mais on peut prendre l'avion). Néanmoins, si l'on voyage en bus, compter 30 à 40 km/h de moyenne. Si on loue une voiture, prévoir une moyenne de 70 km/h.
Bus
La plupart sont vieux et déglingués, ce sont en fait de vieux bus scolaires des États-Unis... Fe en Dios y adelante (« Foi en Dieu, et en avant ! »), affichent-ils fièrement sur le pare-brise. De toute façon, c'est ça ou les minibus privés (shuttles), plus sûrs, mais plus chers.
Pour les grandes distances (Guatemala-Flores, par exemple), des bus plus confortables ont fait leur apparition. Les compagnies les plus recommandables sont Linea Dorada, Litegua et ADN (Autobus del Norte).
Les distances sont moins grandes qu'au Mexique, mais les bus s'arrêtent partout. On s'y entasse au mépris des règles de sécurité. Ils sont d'ailleurs surnommés chicken bus par les gringos. Certains parcours (apparemment courts sur la carte) deviennent parfois de vraies expéditions (trois opu quatre changements de bus), mais l'ensemble s'articule toujours bien.
Voyagez tôt le matin ; l'après-midi, les bus se raréfient.
- Attention, petite tendance, dans certains bus-camionnettes, à faire payer plus cher les visages pâles. Pour ne pas vous faire arnaquer, regardez ce que les gens paient. Ou demandez à un passager combien coûte le trajet et donnez la somme exacte à l'encaisseur.
Minibus (Shuttle)
Les agences de voyages, pour compenser les carences des compagnies de bus traditionnelles, affrètent des minibus (shuttles) qui desservent régulièrement les villes et sites touristiques : aéroport de Ciudad Guatemala, Antigua, Panajachel, Chichicastenango et Copán (Honduras), entre autres.
Chers pour les locaux, mais pas pour les Européens et donc principalement destinés aux touristes. Ils sont beaucoup plus confortables et plus rapides que les bus, et pratiques, car, en général, ces navettes viennent vous chercher et vous déposent à votre hôtel. Horaires adaptés. À l'aéroport, on en trouve à destination d'Antigua ou de Panajachel.
Location de voiture
Pratique, mais évidemment plus cher que le bus. Toutefois, si vous êtes 3 ou 4, la différence s'estompe. On peut louer une voiture au Guatemala (avec ou sans chauffeur), mais les moins de 25 ans devront payer une assurance supplémentaire. Votre permis de conduire suffit si vous louez la voiture moins de 1 mois.
Les routes sont parfois mauvaises dès que l'on s'écarte des grands itinéraires, donc attention à ne pas sous-estimer les temps de trajet. De plus, comme dans le Petén, on tombe parfois sur des petites routes truffées de tumulos, l'équivalent (en plus traître car souvent mal ou pas indiqués !) de nos « gendarmes couchés ».
Pour faire de la piste, louer de préférence un pick-up (4x2) ou un 4x4. Vérifier très précisément l'état du véhicule avant de partir, les agences ne pratiquent pas encore les assurances full-cover. Peu de panneaux indicateurs.
Pour louer une berline standard, compter 1 800-2 300 Qtz par semaine (soit 237-303 US$ ou 207-265 €).
Attention, le prix de l'essence est indiqué en gallons (1 gallon = 3,78 litres). En 2019, le gallon de regular (pas la peine de mettre du super dans une voiture de location) tournait autour de 20-25 Qtz ; à peine moins cher pour le diesel. Certaines régions du pays, plus enclavées, vendent le carburant un peu plus cher.
Avec certaines agences, il est possible de laisser sa voiture dans une autre ville que celle du départ, mais cela entraîne des frais supplémentaires. Par ailleurs, gaffe aux tracasseries à la frontière : pour réaliser un circuit Guatemala-Belize, il faut obtenir une autorisation écrite de la société de location. Il est à noter que les douaniers du Belize insistent pour que l'on souscrive une assurance spécifique, étant donné qu'on perd toutes les autres en passant la frontière. Ce n'est pas obligatoire, tout dépend de la durée du séjour. Renseignez-vous bien.
Ne roulez jamais de nuit (entre la tombée du jour et le lever du soleil) car les routes sont dangereuses (trous dans la piste, véhicules sans feux, piétons, animaux...). Les Guatémaltèques eux-mêmes observent cette règle.
Attention aussi aux tumulos, gendarmes couchés présents partout dans le pays.
À savoir : les loueurs demandent toujours de fournir une carte bancaire pour régler la location de voiture et bloquer une somme en guise de caution. Mais attention, il existe une différence entre une carte de débit et une carte de crédit et il arrive que certaines agences refusent votre location de voiture en cas de paiement par carte de débit. Certains loueurs acceptent les cartes de débit, mais ils vous demanderont alors de souscrire une assurance complémentaire – souvent très chère – en compensation. Donc vérifiez bien si une mention « CRÉDIT » (débit différé) ou « DÉBIT » (débit immédiat) est inscrite sur votre carte bancaire, sinon renseignez-vous auprès de votre banque (avant votre départ). |
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