 | |  Ligne 3025, Cotonou - Parakou (OCBN, voie mêtrique) Horaire 1984 | |
Km |
Gares |
Aut 21 , 1-2 |
Aut 33 , 1-2 |
Aut 1 , 1-2, bar |
Aut 25 , 1-2 |
Train 313, 2ème |
|
|
Quotidien |
Quot, Bar |
Mar, Mer, Sam |
Quotidien |
Mar, Jeu, Vendr, Dim |
0 |
Cotonou |
6h00 |
8h44 |
13h35 |
15h00 |
17h00 |
26 |
Pahou |
7h00 |
9h18 |
14h00 |
15h48 |
18h04 |
88 |
Toffo |
8h34 |
10h20 |
|
17h54 |
|
127 |
Bohicon |
9h36 |
11h01 |
15h34 |
18h50 |
21h20 |
262 |
Savé |
12h20 |
13h38 |
17h54 |
|
3h24 |
380 |
Tchaorouy |
|
16h16 |
|
|
6h50 |
438 |
Parakou |
|
17h12 |
20h45 |
|
8h14 |
. |
|
|
|
|
|
|
Temps |
|
6h20 |
8h28 |
7h10 |
3h48 |
15h14 |
Moyenne |
|
41,4 km/h |
51,7 km/h |
61,1 km/h |
33,4 km/h |
28,8 km/h |
|
|  Ligne 3026, Cotonou - Pobé (OCBN, voie mêtrique) Horaire 1984 | |
Km |
Gares |
Aut 67 , 1-2 |
|
|
Quotidien |
0 |
Cotonou |
17h02 |
35 |
Porto Novo Stade |
18h23 |
108 |
Pobé |
20h55 |
. |
|
|
Temps |
|
3h53 |
Moyenne |
|
27,8 km/h |
|
|  Ligne 3027, Cotonou - Segboroué (OCBN, voie mêtrique) Horaire 1984 | |
Km |
Gares |
Aut 11, 1-2 |
Aut 15, 1-2 |
Aut 17, 1-2 |
|
|
Quotidien |
Quotidien |
Quotidien |
0 |
Cotonou |
8h04 |
13h50 |
17h42 |
26 |
Pahou |
8h54 |
14h40 |
18h38 |
40 |
Ouidah |
9h21 |
15h10 |
19h08 |
58 |
Segboroué |
|
|
19h56 |
. |
|
|
|
|
Temps |
|
1h17 |
1h20 |
2h14 |
Moyenne |
|
31,2 km/h |
30 km/h |
26 km/h |
|
|  |  Relations ferroviaires 2019 | Il n'existe qu'une ligne de chemin de fer de 437 Km de Cotonou à Parakou. Décembre 2007 Les trains de voyageurs de la ligne Cotonou - Parakou ont été supprimés Train de nuit avec couchettes les mardi et jeudi en 12h30 (35,8 Km/h) Train de jour en 8h34 En 2019 seuls circulent des trains de fret | Lien vers le site du Chemin de fer du Benin |
|  Dernières Nouvelles | Novembre 2019 La réabilitation de Cotonou - Parakou faisait partie du projet de Vincent Boloré "Boucle du Niger" Une rivalité entre Boloré qui avait les moyens financiers et un autre groupement qui avait obtenu la concession des travaux sans avoir les moyens financiers à bloqué les travaux. Un arbitrage doit avoir lieu en 2020 !!!
Projet ferroviaire Bénin-Niger: Bolloré "déçu" demande réparation
Abidjan (AFP) --Le groupe français Bolloré s'est déclaré mardi "déçu" et a réclame des indemnisations, après une demande l'encourageant à se retirer d'un grand projet de chemin de fer qui doit relier le Bénin au Niger.
Le président béninois Patrice Talon a demandé au groupe français Bolloré et à son concurrent béninois Pétrolin de se "retirer, à l'amiable, du projet" ferroviaire et assure qu'ils seront "indemnisés de façon équitable".
"Il semble aujourd'hui que la présence même du groupe (Bolloré) dans le projet en gêne la réalisation", a déclaré à l'AFP Philippe Labonne, directeur général de Bolloré transports et logistiques.
"On est un peu déçu de ne pas le réaliser. Mais in fine, si cette boucle se réalise, ce sera aussi une bonne nouvelle pour la région", a poursuivi M. Labonne, en marge de l'Africa CEO-forum, réunissant les patrons, qui se tient depuis lundi à Abidjan, la capitale économique ivoirienne.
Bolloré affirme qu'il sera "satisfait" de la réalisation de ce grand projet "dans la mesure où il (le groupe) aura été indemnisé des investissements qu'il a déjà réalisés, notamment la construction de 140 kilomètres de ligne".
"Un investisseur privé ne peut pas financer seul le chemin de fer que nous voulons", a fait savoir le chef de l'Etat béninois, dans un entretien accordé au magazine français Challenges, qualifiant le projet voulu par le groupe Bolloré de "bas de gamme".
"En général on nous a reproché sur ce projet d'avancer trop vite", alors que "le projet est bloqué du fait d'un imbroglio juridique" a ironisé M. Labonne.
"La Chine dispose des moyens financiers nécessaires", a souligné M. Talon, pour assurer des travaux estimés à 4 milliards de dollars. "Elle (la Chine) a démontré son savoir-faire technique" en ce qui concerne les infrastructures en Afrique, a ajouté le président, qui s'adresse très rarement à la presse.
En 2008, le Bénin et le Niger avaient lancé un appel d'offre en commun pour construire et gérer la construction et la gestion d'un réseau ferroviaire de 740 km reliant Cotonou à Niamey.
Il avait été remporté par Petrolin, la société de l'homme d'affaires Samuel Dossou, avant d'être confié en 2013 au groupe Bolloré, via la société Bénirail, un partenariat privé-public.
En octobre dernier, la justice béninoise a donné raison au Béninois, déboutant Bolloré. Après des années d'imbroglio judiciaire, et des mois de négociations, le projet béninois est toujours au point mort, dans un pays de 10 millions d'habitants, dont l'économie dépend de son port March 27, 2018
Le Bénin et le Niger lorgnent "la piste chinoise" pour leur projet ferroviaire
07/04/2018 | 12:59 NIAMEY (awp/afp) - Les présidents béninois Patrice Talon et nigérien Mahamadou Issoufou ont indiqué vendredi soir étudier une coopération avec la Chine pour réaliser un ambitieux projet de boucle ferroviaire ouest-africaine, au point mort depuis des années.
"Nous avons fait le point sur la question du chemin de fer" et "nous avons essayé de voir quelles sont les solutions qu'on pourrait mettre en place pour l'accélérer", a déclaré à la presse le président du Niger à l'issue de discussions à Niamey avec son homologue béninois.
"Nous évoquons la piste chinoise en termes de financements (...) la Chine a décidé de mettre à la disposition des pays africains environ 60 milliards de dollars pour l'aide au développement, a précisé Patrice Talon. Puisque "la rentabilité" du chemin de fer "n'est pas évidente", alors "il faut des financements particuliers" de "type concessionnel, qui comportent un peu de dons".
Ces types de financement "ne sont pas disponibles sur le marché privé commercial" et "pour l'envergure que nous souhaitons donner à ce projet ferroviaire, (il faut que) nous puissions aller chercher cette possibilité de financement par la coopération chinoise", a-t-il expliqué.
M. Talon avait déjà évoqué la coopération chinoise dans un entretien avec le magazine français Challenges il y a deux semaines, évaluant le projet à quatre milliards de dollars et soulignant les capacités financières et le "savoir-faire technique" de la Chine.
Le tronçon ferroviaire en question représente 1.000 des 3.000 kilomètres d'une boucle ferroviaire devant relier la Côte d'Ivoire, le Burkina Faso, le Niger, le Bénin et le Togo. Il fait l'objet d'un imbroglio judiciaire depuis des années entre le groupe français Bolloré et la société béninoise Pétrolin, qui revendiquent tous deux la concession.
Récemment, le président Talon a demandé aux deux groupes de se "retirer à l'amiable du projet", assurant qu'ils seront "indemnisés de façon équitable".
En 2008, le Bénin et le Niger avaient lancé un appel d'offres en commun pour construire et gérer le tronçon ferroviaire de 1000 km reliant Cotonou à Niamey. Il avait été remporté par Petrolin, la société de l'homme d'affaires Samuel Dossou, puis lui avait été retiré en 2013 au profit du groupe Bolloré, via la société Bénirail, un partenariat privé-public, provoquant un conflit entre les deux groupes.
En octobre 2017, la justice béninoise a donné raison à Petrolin, déboutant Bolloré. Après des années de bataille judiciaire, et des mois de négociations, le projet est toujours au point mort, alors qu'il est crucial pour développer l'économie du Bénin et du Niger, en reliant l'intérieur des terres au port de Cotonou.
bh/de/mcj |
|  Situation en 2025 | Il n'existe plus de trains de voyageurs au Benin en 2025 sur la ligne Cotonou - Parakou
|
| |
|